Le transfert d’une partie des contrôles sanitaires des aliments à des opérateurs privés laisse craindre une détérioration de leur qualité, du fait de potentiels conflits d’intérêts. Et ce, alors même que cette surveillance coûterait moins cher au contribuable en restant sous le contrôle des pouvoirs publics. Le flou persiste sur le devenir à moyen terme de certaines missions.
1 août 2023 | Catégorie: Alimentation, Législation - Justice, Santé