Electricité moins chère ensemble – nouvel achat groupé d’électricité pour faire baisser la facture
Alors que les tarifs réglementés de vente ont bondi de 10 % en août et qu’une prochaine hausse (de l’ordre de 10 %) est attendue pour février 2024, l’UFC‑Que Choisir de la Vienne a le plaisir, à l’issue d’un appel d’offres auprès des fournisseurs nationaux organisé par sa filiale la SAS Que Choisir, de vous proposer un achat groupé autour de l’offre « Énergie moins chère ensemble », à prix fixes 2 ans, avec 12,1 % d’économies (HT) sur la consommation d’électricité par rapport au tarif réglementé d’octobre, soit la meilleure offre à prix fixes actuellement sur le marché. Cet achat groupé, dont l’offre est garantie aux 120 000 premiers souscripteurs, court jusqu’au 15 novembre 2023 inclus.
Pouvoir d’achat (octobre 2023) Une « déconsommation » en réponse aux prix élevés
Le mot est dans la bouche de tous les experts : sous la contrainte de l’envolée des étiquettes, les ménages ont modifié leurs habitudes d’achat. Ils achètent moins cher, et parfois moins. Et c’est parti pour durer. Les distributeurs et leurs fournisseurs l’assument désormais : les prix ne baisseront pas. Au mieux, ils se stabiliseront. Reste à savoir quand, et à quel niveau.
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Maisons fissurées. Une explosion des sinistres en 2022
3,5 milliards d’euros déboursés par les compagnies d’assurances pour indemniser les sinistres de maisons fissurées en 2022 ! Ce record sans précédent s’explique par la sécheresse longue et extrême sur l’année.
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Cancer du sein : les surdiagnostics courants après 75 ans
Les bénéfices du dépistage du cancer du sein sont au cœur d’un débat. Y mettre fin à partir de 75 ans, en revanche, est clairement justifié.
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Le glyphosate est-il sans danger ?
La Commission européenne veut proposer aux 27 Etats membres de prolonger de dix ans l’autorisation du glyphosate, l’herbicide le plus utilisé en France, interdit dans le pays pour les particuliers. Est-ce sans risque ?
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Pudding, shopping et packaging… une façon de parler pas bien de chez nous
Franglais et marketing
Seriez-vous capables de traduire en français tous les mots entre guillemets de ce texte ?
L’UFC-Que Choisir défend une consommation responsable. Avec son « escape game » et sa récente campagne « je ne suis pas une data », elle s’inscrit dans un mouvement linguistique consistant à aller chercher outre-Manche un vocabulaire qui éclabousse les réseaux sociaux et le marketing, de telle sorte que, pour s’y retrouver, le consommateur devra se mettre à parler anglais. « Why not ? »
Inflation, comment s’en sortir pour faire les courses ?
Les dépenses des Français sont fortement impactées par l’inflation. Cela peut modifier les habitudes de consommation, en particulier pour les dépenses alimentaires.
La consommation n’est pas une science exacte et le consommateur de 2023 doit disposer d’un certain nombre de vertus commerciales cardinales :
– connaitre les embrouilles du marketing pour éviter les pièges,
– être un bon gestionnaire, trésorier, économe, intendant,
– être un fin connaisseur du tissu commercial local
– être un peu nutritioniste ou diéticien et savoir lire la liste des ingrédients.
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Démarchage téléphonique, le harcèlement passe par le smartphone
Notre dernière enquête montre que, malgré un encadrement plus strict, le démarchage reste plus que jamais un fléau. Et désormais, les campagnes ciblent de plus en plus les smartphones.
Accueil des jeunes enfants, l’UFC-Que Choisir exige un droit opposable
Alors que les conditions d’accueil des enfants dans les crèches ont récemment fait l’actualité et légitimement scandalisé l’opinion publique, et que la Ministre des Solidarités Aurore Bergé a annoncé prévoir de raccourcir le congé parental afin de le rendre plus « incitatif » au retour à l’emploi, ce qui devrait augmenter la demande de modes de garde formels, l’UFC-Que Choisir dévoile aujourd’hui une étude alertant sur les inégalités territoriales et économiques de l’accès à un mode de garde des enfants de moins de 3 ans, occasionnant des impacts financiers majeurs pour les parents (1). L’association somme les pouvoirs publics de créer d’urgence un droit opposable à un mode de garde de qualité et abordable, comme promis depuis plus de quinze ans.